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Y'a pas d'âge pour aimer le rose
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13 juin 2008

Pizza Royale !

J'avais rencontré S par l'intermédiaire d'un de ses copain avec qui je baisais depuis peu. 38 ans, marié, 2 enfants, un physique agréable, un tableau de chasse impressionnant (17 années de mariage et autant, d'infidélités !), mais surtout un sens de l'humour à toute épreuve.

Il avait dit qu'il m'aurait, et juste pour ça j'avais décidé du contraire, sinon j'aurais dit oui sans hésiter ! Il me courait donc après depuis quelques semaines, essuyant les refus à ses invitations en tous genres, gardant toujours le sourire, sur de lui et de parvenir à ses fins. Il avait raison !

Un soir (de faiblesse), je lui ai cédé, on a fini à l'hôtel, et comme je me l'étais imaginé, ce fut une catastrophe ! Pendant qu'il dormait, je me suis extraite du lit, rhabillée en silence, j'étais prête à partir quand la fermeture éclair de ma botte m'a trahie ! Il a ouvert un oeil et m'a dit en souriant

- tu allais te sauver !

- non, non, j'allais juste fumer une cigarette...

- ouais c'est ça...

Je lui ai dit au revoir et l'ai laissé, me promettant de tenir compte de mes présentiments pour la suite.

Dans la matinée, il m'appelle, me disant qu'il sait bien que ça n'a pas été terrible, et me demandant si on pourrait se voir le vendredi suivant. Parce que des fois je suis conne (mais que là pour le coup : tant mieux !), j'ai accepté. Et là, REVELATION, le lapin de garenne avait laissé place à l'étalon, un pied d'enfer !

On a poursuivit pendant un an, de façon très régulière, je pouvait l'appeler (pratiquement) n'importe quand, et le vendredi de jour comme de nuit, et il me rejoignait pour me baiser à merveille. Cela lui a valu le surnom de "Pizza Royale" : livré chaud et à toute heure.

Une nuit, 2h du matin, mon portable sonne, c'est lui, je décroche endormie

- c'est moi, ça va ?

- hummm...

- tu dormais ?

- hummm...

- Je suis devant ta porte j'ai une surpise pour toi, tu m'ouvres ?

- ...hummmm, j'arrive...

Je descend, j'ouvre la porte, et je le découvre tout sourire avec son associé !

- Elle te plait ma surprise ?

Pour toute réponse, je m'efface pour les laisser rentrer en riant. Il me prend dans ses bras, m'embrasse, et ça me met le feu, je sens sa langue qui me fouille la bouche et les mains de son associé qui glissent sous ma nuisette. On monte à l'étage, il me pousse sur mon lit, se déshabille, relève ma nuisette, et dit à son associé

- regarde ça comme elle est belle...

Le commentaire fini de m'exciter, j'arrache la ceinture de son associé, ouvre les boutons de son jean, tire sur son caleçon en enfourne sa queue déjà dure dans ma bouche. Pendant ce temps il me lèche comme il sait si bien le faire, c'est si bon que j'ai du mal à sucer correctement la queue que j'ai entre mes doigts. Il se relève, m'attrape par les joues et m'embrasse sauvagement. Son visage est trempé de moi, ça colle c'est sucré, c'est bon... Puis il s'allonge sur le dos, m'attrape les hanches et m'empale sur sa queue, je me tiens un peu au dessus de lui et le laisse donner le rythme. Il pince mes seins, m'attire à lui, je me penche et je sens des doigts mouillés carresser mon anus. Puis une queue se pose à l'entrée et pousse doucement mais inexorablement. Une fois au fond, la chevauchée fantastique reprend, Baisée par deux hommes en même temps je me sens plus femme que jamais. S me carresse le clitoris de son pouce, je suis au bord de l'orgasme, d'un coup de rein, il s'enfonce au plus profond de moi en m'inondant le ventre, ce qui me provoque un fulgurant orgasme. Les contractions de mon ventre sont si fortes qu'elles font à leur tour jouir l'associé dans mon cul. On s'effondre tous les trois, fatigués et repus...

Ma Pizza Royale, avec supplément pepperonis !

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Commentaires
V
Non, mais peut-être te l'avais-je raconté en privé...
K
Mais dites-moi, vous n'aviez pas déjà publié ce texte ailleurs, en d'autres temps ?
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